C’est le propre des belles rencontres... elles rentrent en nous sous la peau... on ne sait pas comment. (Jean-Luc Delarue)
Et le lendemain voilà.
On est tombé amoureux. Et voilà.
Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise.
Découvrir d’avoir un corps dans l’espace.
Il faut savoir ouvrir ses capteurs. Être en éveil. (Jean-Luc Delarue)
Je ne crois pas aux rencontres fortuites. (Je ne parle évidemment que de celles qui comptent). (Nathalie Sarraute)
Comment (...)
Journal de recherches, notes sur le thème de la relation amoureuse
par kl loth (art contemporain et écriture)
Articles les plus récents
-
"les belles rencontres rentrent en nous sous la peau"
26 décembre 2005, par kl loth -
la tendresse des anges
26 décembre 2005, par kl lothLe besoin de tendresse est énorme [...]
(Marie-Christine Vernay, "La vie stressée des anges", Libération, 25/07/2005) -
play-list
19 décembre 2005, par kl lothQuelques références de morceaux de musique, sources d’inspiration et couleur sonore de ce site.
Cette page sera augmentée au fur et à mesure...
THE BEATLES, "From Me To You", 1964
THE CREAM, "Sunshine of Your Love" (Disraeli Gears)
DAF (DEUTSCH AMERIKANISCHE FREUNDSCHAFT), "Ich bin morgen wieder da - abschiedslied" (album Fünfzehn Neue DAF Lieder, 2003)
THE DOORS, "Light My Fire"
MANU CHAO, "La Despedida" (album Clandestino)
PERE UBU, "Codex" (album Dub Housing, 1978) (...) -
comme un matou
19 décembre 2005, par kl lothKater (s, -) [m] matou [m]
(...)
Er ist verliebt wie ein Kater. Il est éperdument amoureux. (...)
Trouvé sur http://cronimus.ovh.org/dico/k1.htm, cette expression savoureuse. La traduction littérale en est : amoureux comme un matou. -
l’expérience troublante
18 décembre 2005, par kl lothNoté lors de la Rencontre avec Michel de M’Uzan (organisée par La Fabrique des idées et la bibliothèque du 1er arrondissement de Lyon le 17/06/2005), sa conception de l’écriture comme immersion dans l’expérience troublante.
-
la douceur...
18 décembre 2005, par kl lothSamedi 10/12/2005, lors de l’émission Tout le monde en parle de France 2, l’écrivain Samuel Benchétrit parle abondamment de la douceur. Il assure tenir cette valeur de son père, serrurier, qui lui enseignait qu’elle seule permettait de venir à bout de portes fermées (on goûtera au passage la métaphore de la serrure).
Entendre enfin - dans notre monde de brutes - revendiquer la douceur est un moment capital. Les choses changeraient un peu ?
Affirmer davantage cette notion (...) -
« jamais été assez tendre »
18 décembre 2005, par kl lothUn extrait du blog de François Bon, où l’on peut suivre tous les aspects de sa pratique d’écriture. Ici il parle de l’atelier d’écriture du groupe d’apprentis mécaniciens du CIFAP de Pantin.
"Et paradoxe éternel de l’atelier : on travaille sur les objets, il y a une contrainte formelle précise, mais maintenant que la confiance est établie l’écriture recueille bien au-delà. Elle accueille ce qu’on porte de souffrance, qui est lié intimement au (...) -
La Belle Étoile...
18 décembre 2005, par kl lothet oui... encore une étoile, et une belle ! La Belle Étoile, Lyon, ©kl loth 2005
-
être ensemble
7 décembre 2005, par kl lothOn est contraint biologiquement à être ensemble.
(Boris Cyrulnik, émission Bleu éclectique, Cités Télévision, 2004) -
“Peut-on imposer sa vie amoureuse à ses enfants ?”, émission TV Ça se discute, France 2, 05/10/05
7 décembre 2005, par kl lothGros sur le cœur.
D’un coup, d’un seul.
Amoureux ce n’est rien, c’est tenir ensemble qui est difficile. (L.-F. Céline)
On se dit que c’est vrai, et en plus c’est pire.
Il est plus facile d’aimer les gens que de vivre avec eux. (Barbet Schroeder)
Cf. Nigel Nicholson, Portrait d’un mariage (sur sa mère, Vita Sackville-West, et son père), éd. Stock.
(“Peut-on imposer sa vie amoureuse à ses enfants ?”, Ça se discute, France (...)
Derniers commentaires